Télécharger le livre au Maroc Dans l'intimité du sultan en PDF
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Extrait du livre
" j'avais déjà pas mal couru le monde. J'avais connu ou approché plus d' un souverain et maints princes exotique, du mikado et du prince impérial, son fils, à lémpereur d' Annam, au roi du Cambodge et à leurs familles, sa parler de quelques présidents de République américains, au Mexique, au venezuela... que sais je... Je me reposais aux bords du rhone de tant de lointaine voyages, lorsque j'appris qu'on cher chait un homme, un ingénieur à méme d'enseigner tout d'abord au sultan du maroc la photographie, dont il s'était epris, puis de l'initier, au besoin, aux plus récentes découvertes modernes : dernièrs perfectionnement de l'électricité, téléphonie et télégraphie mélécs, cinématographe et phonographe, bicyclette et jusqu'à l'automobilisme, si la chose lui chantait.
Pourquoi pas moi ? L'occasion était excellente de voir un pays nouveau, plus mystérieux et plus fermé encore que tous ceux que j'avais par courus jusque là, et d'étendre encore, par surcroît, mes belles relations ma candidature fut posé. On m'agréa. Je partis c'était au commen mencement.
En ces temps bienheureux une préoccupation à la cour marocain, primait toutes les au très, coùte que coùte amuser le sultan. Co but dominait, résumait toute la politique de l'omnipotent ministre de la guerre, si mehedi el menbhy, qui depuis la mort du vieux grand-vizir ba hamad, avait pris sur abd el Aziz le plus complet ascendant et qui était alors à l'apogée de son étonnant fortune, anglais Mac Lean, la caid maclean, si adroit, si souple, qui était entréde compagnie avec el menbhy dans les bonnes grâce du jeune souverain, s'employait de tous ses efforts à seconder ces desceins apportent à la tâche un bon vouloir jamais las, une complaisance ingénieuse qui allaient lui conquérir absolument et l'amitié de el menbhy et la faveur impériale.
Le sultan s'était éveillé un matin avec le désir de peindre fantaisie peut étre d' adolescents révant de fixer sur la toile l'image de la favorite du jour. mac lean soccupa donc de lui chercher un professeur et écrivit, comme de raison en Angleterre. Mais kes négociations prirent du temps, et le sultan n'aimait guére à attendre. Il fallut chercher plus près. On eut la bonne fortune de mettre la main sur un peintre américain qui travaillait depuis quelques temps à tanger, M Schneider. Faute d'un anglais pour sange, le caid l'appela, c'était encore un anglo-saxons. "
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